L’absence de liens aériens vers les aéroports internationaux coûte une implantation à Sherbrooke

Une entreprise allemande de l’industrie du caoutchouc aurait choisi de suspendre son projet d’implantation d’un centre de recherche à Sherbrooke, entre autres à cause de son manque de liens ferroviaires et aériens avec les grandes villes du Nord-Est américain.
Lors de son allocution devant les chambres de commerce de Sherbrooke et Fleurimont en septembre 2011, monsieur Pierre Bélanger, directeur général de Sherbrooke Innopole, avait prédit que l’absence de lien ferroviaire et aéroportuaire serait un frein au développement de Sherbrooke. « Dans le cas présent, on m’a clairement dit que les problèmes de transport aérien et terrestre vers Sherbrooke étaient en cause » a précisé monsieur Bélanger.
La Tribune rapporte cependant que les espoirs sont bons pour que Sherbrooke ait, d’ici quelques années, une desserte régulière avec des aérogares telles que celles de Montréal et Toronto, et ainsi éviter que ce scénario se reproduise. Voir La Tribune d’aujourd’hui en page 2 et 3 pour les articles complets.