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19 octobre 2011

Les gens d'affaires sautent dans le train TrensQuébec

Article de Luc Larochelle publié sur CyberPresse – La Tribune, le 27 septembre 2011
Photos fournies par TrensQuébec

Les priorités de la communauté d’affaires de l’Estrie s’arriment à celles de Sherbrooke Innopole. Les représentants de chambres de commerce de la région vont suggérer cette semaine à leur fédération provinciale d’appuyer le projet de monorail aérien TrensQuébec, qui prévoit un corridor vers Sherbrooke.


Précipitez-vous sur le site internet de TrensQuébec (dont l’acronyme signifie Train Rapide Électrique Suspendu Québec) pour voir où le rêve commence et à quel prix il serait réalisable. Ce n’est pas un train à proprement dit, plutôt des cabines de passagers suspendues à un rail, d’une capacité d’une soixantaine de passagers chacune et pouvant circuler indépendamment les unes des autres, dans les deux sens.

«Un train à grand vitesse est un convoi partant à heures fixes avec le moins d’arrêts possibles. À l’opposé, le monorail TrensQuébec est un équipement flexible tant sur le nombre de passagers que sur la longueur des trajets. Comme pour les autobus, il pourrait y avoir des circuits express en direction de Montréal et d’autres s’arrêtant par exemple à Magog ou Bromont», illustre son promoteur, Jean-Paul Marchand, un ex-député bloquiste de la région de Québec.
Le TrensQuébec est le prolongement des découvertes d’un chercheur d’Hydro-Québec, Pierre Couture, qui a développé les moteurs-roues, qu’il destinait à l’industrie automobile.
«Les grands constructeurs automobiles sont restés accrochés au moteur conventionnel à l’essence aussi longtemps qu’ils ont pu. Or, la conversion est amorcée et elle s’accélérera au cours des années à venir. Plus personne ne met en doute que la même transition se produira dans le transport collectif», ajoute M. Marchand.
Le Centre de recherche en sciences naturelles et en génie du Canada vient d’accorder des fonds à un groupe formé d’une quarantaine de spécialistes en transport de Polytechnique, du HEC et de l’École du design de l’Université de Montréal, pour mettre à jour d’ici le printemps prochain les analyses de coûts et de faisabilité du projet.
Source : La Tribune

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