26 janvier 2011

Selon une étude du Conseil national de la recherche scientifique (CRNS), environ le tiers des bâtiments commerciaux certifiés LEED auraient une efficacité énergétique moindre que celles construites sans norme environnementales. D’autres auteurs prétendent le contraire, arguant qu’il faut différencier toutes les certifications vertes et que des économies d’énergie peuvent être constatées avec de bonnes pratiques de construction (source).

Quelle est la valeur ajoutée des prestigieuses certifications LEED? Sont-elles un mal nécessaire pour assurer la qualité d’une construction ou doivent-elles être plutôt perçue comme une valeur ajoutée afin de stimuler les promoteurs et constructeurs à prendre le virage vert? Construire un bâtiment durable, est-ce une question de volonté, de ressources compétentes ou de financement?

Pour faire la lumière sur ces questions, j’animerai une table ronde ayant pour thème « La pertinence de la certification verte! » dans le cadre de l’événement Bâtir vert l’avenir de  l’Association de la construction du Québec (ACQ), région Estrie, qui se tiendra le 25 février 2011 à l’Hôtel Delta de Sherbrooke.  Lors de cette table ronde, nous aurons la chance d’échanger avec MM. André Bourassa, architecte au sein du cabinet Bourassa Maillé, Alain Webster, vice-recteur au développement durable et aux relations gouvernementales de l’Université de Sherbrooke, et Raymond Gautier, architecte chez ESPACE VITAL Architecture.

Pour en savoir plus sur l’événement, consultez le document d’information de l’ACQ.

Pour plus d’information sur la certification verte, visitez ces liens :

http://www.ecohabitation.com/leed

http://www.acq.org/index.php?option=com_content&task=view&id=40&Itemid=2246

http://www.voirvert.ca/communaute/blogues/jstrudel/le-tiers-des-batiments-leed-consomment-plus-denergie

Chloé Legris, directeur Développement des affaires, Technologies propres et développement durable
clegris@sherbrooke-innopole.com